Années 2000. Les Marolles sont soumises à ce qu’on appelle « la gentrification » : de nouveaux habitants plus fortunés, séduits par le caractère pittoresque et bon marché du quartier, y élisent domicile, modelant peu à peu le paysage local à leur image. Ils cohabitent pourtant avec d’autres gens, laissés pour compte, pour lesquels les Marolles ont traditionnellement été le refuge. Comment se repose aujourd’hui la question de vivre avec son prochain ?